L’étudiante en enseignement coopératif de la CGC Fiona Davidson utilise un logiciel géophysique interprétatif pour marquer le haut et le bas des dépôts de glissement sous-marin. Les données sont utilisées pour créer des cartes montrant l’étendue et l’épaisseur des dépôts de glissements de terrain dans la zone étudiée.
La sûreté à long terme pour les personnes et l’environnement est la priorité absolue de la SGDN dans la sélection d’un site pour le dépôt géologique en profondeur canadien pour le combustible nucléaire irradié. Un aspect clé de l’évaluation de la sûreté consiste à comprendre la stabilité à long terme du cadre géologique, y compris la résilience face aux futurs séismes. Comprendre les anciens séismes dans une région donnée est une des méthodes qui est utilisée pour évaluer la probabilité et l’ampleur des futurs séismes.
Au Canada, une trace écrite des séismes remonte au milieu du 17ème siècle, bien qu’ils n’aient pas été mesurés avec des instruments avant la fin du 19ème siècle. Un réseau sismographique national de détection et de rapports réguliers sur les activités sismiques a été créé dans les années 60.
Pour retourner plus loin dans le temps, la SGDN travaille en collaboration avec la Commission géologique du Canada (CGC) afin d’examiner si les couches de sédiments des lits de lacs conservent des preuves d’activités sismiques modérées à fortes survenues il y a des milliers d’années. L’objectif est d’établir un tableau plus complet de l’histoire sismique à long terme de la région. Ce domaine de travail spécialisé est connu comme une étude paléosismique.
« Les résultats préliminaires sont très encourageants, dit Mark Jensen, directeur de la Géoscience et de la Recherche du dépôt géologique en profondeur à la SGDN. Ils indiquent que ces techniques paléosismiques peuvent fournir des preuves d’activité sismique datant de plusieurs milliers d’années. Alors que les recherches se poursuivent, ce type d’information est utile dans l’évaluation de l’activité sismique régionale et pourra peut-être en outre établir les bases scientifiques pour évaluer la sûreté à long terme d’un dépôt géologique en profondeur. »
La recherche est dirigée par Greg Brooks, un chercheur de la CGC, et porte sur l’identification des niveaux distincts de dépôts de fond de lacs où se trouvent les nombreux gisements de glissements de terrain. Les méthodes de recherche ont été mises au point en Suisse.
M. Brooks et son équipe effectuent leurs travaux sur le terrain dans un lac du Bouclier Canadien de taille moyenne. Leurs travaux ont commencé par la réalisation de vastes levés au sonar partout dans le lac. Ils étaient utilisés pour créer un réseau dense d’images bidimensionnelles, à partir duquel une image tridimensionnelle des dépôts au fond du lac a été créée. Cette image a été utilisée pour identifier des endroits clés dans le lit du lac d’où les carottes de sondage ont été extraites et les dépôts de glissements de terrain ont été datés.
La prochaine étape consistera à corroborer les résultats avec ceux obtenus d’autres lacs de la région.
Au Canada, une trace écrite des séismes remonte au milieu du 17ème siècle, bien qu’ils n’aient pas été mesurés avec des instruments avant la fin du 19ème siècle. Un réseau sismographique national de détection et de rapports réguliers sur les activités sismiques a été créé dans les années 60.
Pour retourner plus loin dans le temps, la SGDN travaille en collaboration avec la Commission géologique du Canada (CGC) afin d’examiner si les couches de sédiments des lits de lacs conservent des preuves d’activités sismiques modérées à fortes survenues il y a des milliers d’années. L’objectif est d’établir un tableau plus complet de l’histoire sismique à long terme de la région. Ce domaine de travail spécialisé est connu comme une étude paléosismique.
« Les résultats préliminaires sont très encourageants, dit Mark Jensen, directeur de la Géoscience et de la Recherche du dépôt géologique en profondeur à la SGDN. Ils indiquent que ces techniques paléosismiques peuvent fournir des preuves d’activité sismique datant de plusieurs milliers d’années. Alors que les recherches se poursuivent, ce type d’information est utile dans l’évaluation de l’activité sismique régionale et pourra peut-être en outre établir les bases scientifiques pour évaluer la sûreté à long terme d’un dépôt géologique en profondeur. »
La recherche est dirigée par Greg Brooks, un chercheur de la CGC, et porte sur l’identification des niveaux distincts de dépôts de fond de lacs où se trouvent les nombreux gisements de glissements de terrain. Les méthodes de recherche ont été mises au point en Suisse.
M. Brooks et son équipe effectuent leurs travaux sur le terrain dans un lac du Bouclier Canadien de taille moyenne. Leurs travaux ont commencé par la réalisation de vastes levés au sonar partout dans le lac. Ils étaient utilisés pour créer un réseau dense d’images bidimensionnelles, à partir duquel une image tridimensionnelle des dépôts au fond du lac a été créée. Cette image a été utilisée pour identifier des endroits clés dans le lit du lac d’où les carottes de sondage ont été extraites et les dépôts de glissements de terrain ont été datés.
La prochaine étape consistera à corroborer les résultats avec ceux obtenus d’autres lacs de la région.