Participation au Groupe d’experts sur la sécurité opérationnelle

Le Groupe d’experts sur la sécurité opérationnelle (GESO) de l’Agence pour l’énergie nucléaire est l’un des groupes internationaux auxquels la SGDN participe. Kelly Liberda de la SGDN, photographiée ici, a participé aux deux réunions du GESO cette année.

Le Groupe d’experts sur la sécurité opérationnelle (GESO) de l’Agence pour l’énergie nucléaire est l’un des groupes internationaux auxquels la SGDN participe. Kelly Liberda de la SGDN, photographiée ici, a participé aux deux réunions du GESO cette année.

August 15, 2016

Toronto

Le Groupe d’experts sur la sécurité opérationnelle (GESO) de l’Agence pour l’énergie nucléaire est l’un des groupes internationaux auxquels la SGDN participe. Kelly Liberda de la SGDN, photographiée ici, a participé aux deux réunions du GESO cette année.

Le Groupe d’experts sur la sécurité opérationnelle (GESO) de l’Agence pour l’énergie nucléaire est l’un des groupes internationaux auxquels la SGDN participe. Kelly Liberda de la SGDN, photographiée ici, a participé aux deux réunions du GESO cette année.

Dans le cadre de son engagement à suivre les meilleures pratiques internationales dans la mise en oeuvre du plan canadien, la SGDN participe régulièrement à bon nombre de réunions et d’ateliers de l’Agence pour l’énergie nucléaire (AEN). Cette agence, fondée en 1958, s’efforce d’aider ses 31 pays membres à maintenir et à approfondir les bases scientifiques, technologiques et juridiques nécessaires pour l’utilisation sûre, respectueuse de l’environnement et économique de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques.

Le Groupe d’experts sur la sécurité opérationnelle (GESO) est l’un des groupes de l’AEN auxquels la SGDN participe. Ce groupe, créé en 2013, s’efforce d’identifier et de définir les meilleures pratiques internationales pour la sécurité opérationnelle dans les dépôts géologiques pour les déchets radioactifs.

Le GESO se compose de membres de 11 pays et de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Il se réunit deux fois par an, pour une réunion ordinaire et pour un atelier technique.

Depuis 2013, la SGDN a participé aux réunions techniques pour discuter de questions de sécurité opérationnelle dans les dépôts dans des domaines comme les mesures de protection contre les incendies et la conception de systèmes en la matière, la conception et l’utilisation de systèmes de ventilation, la gestion de coactivités souterraines (excavation des salles et mise en place des déchets), et le transfert sur place des déchets radioactifs et leur mise en place.

La SGDN a également apporté son appui à la production d’un rapport d’étape sur la gestion des risques d’incendie dans les installations souterraines et d’une analyse des dangers liés aux coactivités dans les dépôts géologiques en profondeur.

La SGDN a participé aux deux réunions les plus récentes du GESO, en février et en juin 2016.

Kelly Liberda, une ingénieure à la SGDN, a participé aux deux réunions. « Le GESO est un exemple de coopération entre les pays en vue de renforcer la sûreté des dépôts géologiques en profondeur, explique-t-elle. C’est l’une des manières pour nous, à la SGDN, de tirer des enseignements de ce qui se fait sur la scène internationale en matière de pratiques exemplaires et aussi d’apporter notre propre contribution. »

L’atelier de juin, organisé en collaboration avec l’AIEA, portait sur trois dimensions clés de la sécurité opérationnelle : (1) les aspects relevant de la conception technique (p. ex., gestion des risques d’incendie, transport sur place et mise en place); (2) le cadre et les exigences réglementaires pour les dépôts; et (3) la protection radiologique dans les dépôts géologiques en profondeur.

En plus de la participation du Canada, on note celle de l’Allemagne, de la Belgique, de la Corée du Sud, des États-Unis, de la Finlande, de la France, du Japon, de la Pologne, de la République tchèque, du Royaume-Uni, de la Suède et de la Suisse.