Au sujet de la SGDN

La SGDN signe un nouvel accord de coopération avec notre homologue taïwanais

De gauche à droite : Jamie Noel, Mehran Behazin, Tung Yuan (Romeo) Yung, Sridhar Ramamurthy et David Shoesmith visitent le laboratoire de recherche en corrosion et en électrochimie de l’Université Western.

De gauche à droite : Jamie Noel, Mehran Behazin, Tung Yuan (Romeo) Yung, Sridhar Ramamurthy et David Shoesmith visitent le laboratoire de recherche en corrosion et en électrochimie de l’Université Western.

January 23, 2020

London, Ont.

De gauche à droite : Jamie Noel, Mehran Behazin, Tung Yuan (Romeo) Yung, Sridhar Ramamurthy et David Shoesmith visitent le laboratoire de recherche en corrosion et en électrochimie de l’Université Western.

De gauche à droite : Jamie Noel, Mehran Behazin, Tung Yuan (Romeo) Yung, Sridhar Ramamurthy et David Shoesmith visitent le laboratoire de recherche en corrosion et en électrochimie de l’Université Western.

La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) a signé un nouveau protocole d’entente avec notre homologue taïwanais – l’Institute of Nuclear Energy Research (INER).

 

Un représentant de l’INER, Tung Yuan (Romeo) Yung, a visité la SGDN le 9 octobre pour explorer avec nous des avenues possibles de collaboration. M. Yung s’est également rendu à l’Université Western le 10 octobre pour visiter ses laboratoires et en apprendre davantage sur les recherches qui y sont menées pour soutenir notre projet.

 

L’INER, que l’association entre la SGDN et des universités intéresse particulièrement, espère trouver pour des membres de son équipe des possibilités de travailler à titre de chercheurs invités à certaines des installations de recherche partenaires de notre organisation.

 

Nos partenariats de recherche avec ces universités jouent un rôle important dans notre programme de recherche technique. Ils nous aident à mieux comprendre les barrières ouvragées et naturelles qui contribueront ensemble à confiner et à isoler le combustible nucléaire irradié et ainsi à protéger les gens et l’environnement.

 

« Nous espérons aider l’INER à développer ses capacités expérimentales afin qu’elle puisse partager avec nous des données dans le futur », indique Mehran Behazin, une scientifique spécialisée en corrosion/microbiologie à la SGDN.

 

Le nouvel accord avec l’INER confirme l’engagement de la SGDN à coopérer avec d’autres organisations pour échanger des connaissances technologiques, des expériences et des pratiques en matière de gestion sûre du combustible nucléaire irradié.

 

Cet accord vient s’ajouter aux neuf autres accords conclus avec les organisations de gestion de déchets nucléaires de la Finlande, du Japon, de la Belgique, de la France, de la Suède, de la Suisse, de la Corée du Sud et du Royaume-Uni.

À propos de la SGDN

La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) est une organisation à but non lucratif chargée d’assurer la gestion à long terme sûre du combustible nucléaire irradié canadien au sein d’un dépôt géologique en profondeur, d’une manière qui protégera les gens et l’environnement pour les générations à venir.

Fondée en 2002, la SGDN est guidée depuis plus de 20 ans par une équipe dévouée de scientifiques et d’ingénieurs de calibre mondial ainsi que par des détenteurs du savoir autochtone, qui élaborent ensemble des solutions innovantes et collaboratives pour assurer la gestion des déchets nucléaires. Le plan canadien ne sera mis en oeuvre que dans une région où les hôtes sont informés et consentants, où la municipalité, les collectivités des Premières Nations et métisses et les autres de la région travaillent ensemble à sa mise en oeuvre. La SGDN prévoit choisir un site en 2024 et deux régions participent toujours à notre processus de sélection d’un site : la région de la Nation ojibwée de Wabigoon Lake-Ignace dans le nord-ouest de l’Ontario et la région de la Nation ojibwée de Saugeen-South Bruce dans le sud de l’Ontario.