Une spécialiste partage les résultats de la recherche sur les nappes glaciaires avec le Comité de Huron-Kinloss

La photo montre Monique Hobbes, géoscientifique de la SGDN, à une réunion du Comité consultatif communautaire de Huron-Kinloss sur les déchets nucléaires.

Monique Hobbs de la SGDN présente les activités glaciaires passées au Comité consultatif communautaire de Huron-Kinloss sur les déchets nucléaires.

May 18, 2017

Huron-Kinloss

La photo montre Monique Hobbes, géoscientifique de la SGDN, à une réunion du Comité consultatif communautaire de Huron-Kinloss sur les déchets nucléaires.

Monique Hobbs de la SGDN présente les activités glaciaires passées au Comité consultatif communautaire de Huron-Kinloss sur les déchets nucléaires.

Monique Hobbs, géoscientifique de la Société de gestion des déchets nucléaires, a partagé les constats positifs du Greenland Analogue Project avec le Comité consultatif communautaire de Huron-Kinloss sur les déchets nucléaires, à l’occasion de leur réunion du mois de mai.

La SGDN collaboré avec des agences partenaires suédoise et finlandaise sur le Greenland Analogue Project, qui a réuni des scientifiques et des ingénieurs de six pays dans le but de recueillir des données sur les nappes glaciaires au Groenland.

Ces nouvelles informations nous permettent de mieux comprendre comment les nappes glaciaires interagissent avec les territoires en surface et souterrains. Comme les dépôts géologiques en profondeur (DGP) doivent assurer la gestion sûre du combustible nucléaire irradié au cours d’une période de longue durée, il est impératif de prendre en compte les conséquences potentielles de périodes glaciaires sur les DGP pendant des périodes allant jusqu'à 1 million d'années.