Le plan canadien

Des scientifiques visitent ensemble l’installation d’essais de sûreté

La photo illustre bon nombre de personnes dans une installation

Des scientifiques travaillant sur différents aspects du projet de la GAP se sont réunis à l’installation d’essais de sûreté de la SGDN

March 13, 2018

Oakville

By la SGDN

La photo illustre bon nombre de personnes dans une installation

Des scientifiques travaillant sur différents aspects du projet de la GAP se sont réunis à l’installation d’essais de sûreté de la SGDN

Une rencontre scientifique organisée à l’installation d’essais de sûreté de la SGDN a permis à des chercheurs travaillant sur différents aspects du projet de la GAP de mettre en commun les résultats de leurs recherches respectives.  

Fin de février, 51 chercheurs de cinq universités et des scientifiques de la SGDN se sont réunis à l’installation pour échanger sur leurs contributions respectives à la mise en œuvre du plan de gestion du combustible nucléaire irradié canadien. La journée comprenait des visites, des exposés et des séances de présentation d’affiches réalisées par des étudiants.  

« C’était très intéressant de découvrir ce que les autres chercheurs font parce que nous travaillons chacun de notre côté sur un élément particulier du projet. C’est bien pour nous de prendre du recul et d’avoir une vue d’ensemble », souligne Magdalena Krol, une professeure adjointe en génie civil de l’Université York qui a participé à l’événement.

Mme Krol et son équipe emploient des techniques de modélisation physique de pointe pour évaluer quels effets la migration du sulfure à travers la roche et l’argile pourrait avoir sur les conteneurs de combustible irradié au bout de plusieurs millions d’années.

Des chercheurs de l’Université Western, de l’Université de Waterloo, de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario et de l’Université de Toronto, qui examinent d’autres aspects de la prévention de la corrosion, étaient également présents.

« C’était formidable de voir converger plusieurs avenues de recherche », ajoute Peter Keech, qui est responsable du système de barrières ouvragées à la SGDN. « Les échanges multilatéraux sont très importants, compte tenu du grand nombre de facettes que comporte ce projet. »

À propos de la SGDN

La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) est une organisation à but non lucratif chargée d’assurer la gestion à long terme sûre du combustible nucléaire irradié canadien au sein d’un dépôt géologique en profondeur, d’une manière qui protégera les gens et l’environnement pour les générations à venir.

Fondée en 2002, la SGDN est guidée depuis plus de 20 ans par une équipe dévouée de scientifiques et d’ingénieurs de calibre mondial ainsi que par des détenteurs du savoir autochtone, qui élaborent ensemble des solutions innovantes et collaboratives pour assurer la gestion des déchets nucléaires. Le plan canadien ne sera mis en oeuvre que dans une région où les hôtes sont informés et consentants, où la municipalité, les collectivités des Premières Nations et métisses et les autres de la région travaillent ensemble à sa mise en oeuvre. La SGDN prévoit choisir un site en 2024 et deux régions participent toujours à notre processus de sélection d’un site : la région de la Nation ojibwée de Wabigoon Lake-Ignace dans le nord-ouest de l’Ontario et la région de la Nation ojibwée de Saugeen-South Bruce dans le sud de l’Ontario.
la SGDN

La SGDN est une organisation à but non lucratif créée en 2002 par les producteurs canadiens d’électricité d’origine nucléaire conformément à la Loi sur les déchets de combustible nucléaire (LDCN).