La SGDN appelle les Canadiens à mettre fin à la violence contre les femmes et les filles autochtones

Collage of NWMO employees wearing red

Les employés de la SGDN portent du rouge en mai 2021 pour marquer la Journée de la robe rouge, la Journée nationale de sensibilisation pour les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.

May 3, 2021

Toronto, Ont.

Collage of NWMO employees wearing red

Les employés de la SGDN portent du rouge en mai 2021 pour marquer la Journée de la robe rouge, la Journée nationale de sensibilisation pour les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.

En cette Journée nationale de sensibilisation aux femmes et aux filles autochtones disparues et assassinées, la Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) appelle tous les Canadiens à réfléchir à la contribution qu’ils peuvent apporter au processus de réconciliation et à l’élimination de la violence commise contre les femmes et les filles autochtones dans notre pays et ailleurs dans le monde.

 

Également appelée la Journée de la robe rouge, la Journée nationale de sensibilisation aux femmes et aux filles autochtones disparues et assassinées est célébrée chaque année le 5 mai. C’est une occasion importante pour tous les Canadiens et les Canadiennes de commémorer les vies emportées et les personnes disparues, et de réfléchir aux conclusions de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées (FFADA).

 

La robe rouge est devenue un symbole de cette journée nationale de commémoration et d’action après que l’artiste métisse Jamie Black a créé une installation composée de robes rouges suspendues. Comme l’explique l’artiste, «...je voulais avec ces robes attirer l’attention sur la nature sexuée et racialisée des crimes violents commis contre les femmes autochtones et évoquer une présence en marquant l’absence ».

 

« La Journée de la robe rouge est un moment important de réflexion à la SGDN, pour tous nos employés et contractuels, ainsi que pour tout le monde au Canada. Elle permet de sensibiliser le public aux femmes et aux filles autochtones disparues et assassinées, et de reconnaître que la violence à l’égard des femmes autochtones est un problème qui reste actuel au Canada et que nous ne pouvons pas ignorer, a déclaré Laurie Swami, présidente et chef de la direction de la SGDN. Près de deux ans se sont écoulés depuis l’enquête FFADA et il nous appartient à tous d’en faire davantage pour que les 261 appels à la justice soient mis en oeuvre. »

 

« À la SGDN, nous nous efforçons d’apporter notre modeste contribution. Nous offrons une formation à tous nos employés et travailleurs contractuels, et nous nous sommes donné une Politique sur la réconciliation, qui reconnaît le passé du Canada et nous engagent à construire un avenir meilleur en collaboration avec les autres », a souligné Mme Swami.

 

Les employés de la SGDN ont été encouragés à porter du rouge et à partager des photos d’eux-mêmes et de leurs familles afin de prendre le temps de marquer cette journée importante. C’est l’une des nombreuses façons dont nous nous efforçons, en tant qu’organisation, d’honorer notre engagement de promouvoir la réconciliation. La SGDN est également résolue à réfléchir et à mieux comprendre comment les « appels à la justice » peuvent influencer le travail que nous faisons pour mettre en oeuvre notre projet.

 

Le 17 octobre 2019, au cours d’une cérémonie, la SGDN a publié une Politique sur la réconciliation, qui précise la manière dont l’organisation entend contribuer à la réconciliation. En vertu de cette politique, à la SGDN, nous nous sommes engagés à entretenir un dialogue respectueux et constructif avec les peuples et les collectivités autochtones, à fournir une formation de sensibilisation à la culture autochtone et sur la réconciliation à notre personnel et à nos travailleurs contractuels, ainsi qu’à publier chaque année un plan de mise en oeuvre de nos efforts de réconciliation.

 

En tant qu’organisation, la SGDN s’engage à travailler avec les peuples autochtones, à les écouter et à intégrer le savoir autochtone dans tous nos travaux.

 

Pour expliquer plus avant la signification de la Journée de la robe rouge, la SGDN a produit avec l’aînée Diane Longboat une vidéo qui fournit de plus amples informations sur cette journée et cette question importantes.

À propos de la SGDN

 

La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) est une organisation à but non lucratif qui a été chargée d’assurer le stockage sûr pour le long terme, et d’une manière qui protégera les gens et l’environnement pour les générations à venir, du combustible nucléaire irradié canadien.

 

Nous travaillons actuellement à mettre en oeuvre le plan canadien de confinement et d’isolement sûrs du combustible nucléaire irradié dans un dépôt géologique en profondeur. Ce plan est basé sur les commentaires reçus du public au fil des années, sur le savoir autochtone, sur le consensus scientifique international et sur les meilleures pratiques en vigueur dans le monde.

 

Le plan canadien n’avancera que dans une région avec des hôtes informés et consentants, où la municipalité, les collectivités des Premières Nations et métisses et les autres de la région travaillent ensemble pour sa mise en oeuvre. La SGDN prévoit choisir un site en 2024 et deux régions participent toujours à notre processus de sélection d’un site : la région d’Ignace et South Bruce, toutes deux en Ontario.

 

Avec transparence et de manière responsable, la SGDN travaille étroitement avec des collectivités, tous les ordres de gouvernement, les autorités réglementaires nationales et internationales, les peuples autochtones, l’industrie, le milieu universitaire et les organisations de la société civile.