La SGDN amorce son processus de réouverture en commençant par son installation d’Oakville

Un homme debout à côté d'une machine.

Damien Hobson, technicien mécanique de la société ANCAM, examine un compresseur après avoir rétabli le courant dans le cadre de la réouverture de l’installation d’essais de sûreté de la SGDN à Oakville. 

June 12, 2020

Oakville, Ont.

Un homme debout à côté d'une machine.

Damien Hobson, technicien mécanique de la société ANCAM, examine un compresseur après avoir rétabli le courant dans le cadre de la réouverture de l’installation d’essais de sûreté de la SGDN à Oakville. 

La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) a amorcé le processus de réouverture de ses bureaux, après les avoir temporairement fermés en mars dernier en raison de la pandémie mondiale. La réouverture a débuté à notre installation d’essais de sûreté d’Oakville, en juin. La santé et la sécurité de nos employés et de nos partenaires techniques demeureront de la plus haute importance pendant tout ce processus.

Notre installation d’Oakville est le siège de notre programme de conception, d’optimisation et d’essais de sûreté. Nous y testons des prototypes d’équipements, y compris notre système de barrières ouvragées et nos technologies de mise en place sous terre du combustible, pour nous assurer que nous serons en mesure de constituer un solide dossier technique de sûreté pour notre projet.

« Nous avons décidé de rouvrir l’installation d’Oakville en premier parce que notre projet s’appuie sur des épreuves physiques qui ne peuvent être réalisées à distance par notre équipe et nos partenaires de l’industrie. Grâce aux vastes espaces de travail de l’installation et à ses équipements qui peuvent être actionnés à distance ou par une seule personne, nous pouvons maintenir une bonne distanciation physique », a souligné Chris Boyle, directeur de l’ingénierie à la SGDN.

« La sécurité des travailleurs est primordiale pour la SGDN et ses partenaires. Avec la combinaison de nos mesures de distanciation physique, du resserrement de nos normes de propreté, d’hygiène et d’utilisation des équipements de protection individuelle (ÉPI), ainsi que des autres pratiques exemplaires que nous avons adoptées, nous avons pleinement confiance dans la sûreté de notre espace de travail », a ajouté M. Boyle.

La première étape de cette réouverture par phases et graduelle nous permettra de relancer les travaux de recherche-développement technique qui avaient été interrompus plus tôt cette année. Cette reprise permettra à la SGDN de renouer contact avec ses fournisseurs et d’apporter sa contribution au redémarrage de l’économie.

« La perspective de recommencer à collaborer avec l’équipe de la SGDN sur ces travaux uniques est très enthousiasmante pour notre équipe des services techniques. Nous sommes prêts à retourner au travail de manière sécuritaire », a indiqué Kevin Clark, président-directeur général d’ANACM Solutions, un partenaire clé qui soutient l’exploitation de l’installation d’Oakville.

Les autres membres du personnel de la SGDN continueront pour le moment de travailler à distance à la mise en œuvre du plan de gestion à long terme sûre du combustible nucléaire irradié canadien. Au cours de la pandémie, la SGDN a pu poursuivre une bonne partie de ses travaux à distance et maintenir sa cadence de progression dans la réalisation du plan canadien.

Nous utiliserons une approche graduelle et par phases pour la réouverture future de nos autres bureaux dans les collectivités hôtes potentielles et de notre siège social à Toronto, en suivant les recommandations du gouvernement et des autorités de santé publique.

La SGDN fournira des mises à jour à ce sujet au cours des prochains mois et continuera de faire de la sûreté sa plus haute priorité.