La Société de gestion des déchets nucléaires (SGDN) continue de mener des études et des recherches techniques, bien que les activités sur le terrain, comme les forages géotechniques, aient été mises en pause en raison de la pandémie de la COVID-19.
Les travaux techniques qui se poursuivent incluent l’analyse des données tirées des échantillons de roche et d’eau recueillis dans le cadre des travaux de forage et d’essai de trous de sonde réalisés dans la région d’Ignace-Wabigoon pour mieux comprendre la géologie locale.
« En tant que géologue, je souhaite toujours avoir des gens sur le terrain qui recueillent des informations et des données pour notre projet », indique Andy Parmenter, chef de la section de l’intégration et de la synthèse des données à la SGDN. « La réalité pendant la situation actuelle de la COVID-19, c’est que nous avons dû changer nos habitudes de travail, en nous concentrant sur ce qui peut être fait à distance. Les données que nous recevons continuent d’indiquer que la roche est relativement homogène et stable et qu’il n’y a aucune preuve que de l’eau y ait été présente à grande profondeur récemment. »
La SGDN continue de travailler avec les collectivités et ses sous-traitants à la planification d’un retour sur le terrain sûr et du forage des cinquième et sixième trous de sonde dans la région. Nous suivrons les recommandations des autorités de santé publique pour nous assurer que nous reviendrons sur le terrain à un moment et suivant une approche qui seront sûrs pour tous. La SGDN avait antérieurement foré les trous de sonde un à trois et effectué les essais de fond de puits connexes. Au mois de mars 2020, elle a ensuite foré jusqu’à une profondeur de 1 000 mètres le quatrième trou de sonde, d’où elle a extrait des carottes rocheuses.
En s’appuyant sur les informations et les données recueillies par la SGDN, notre équipe géoscientifique est en train de maintenant de mettre la dernière main à deux rapports qui seront bientôt publiés : une interprétation révisée des linéaments, réalisée d’après des données à haute résolution qui montrent où se trouvent en surface les zones de fractures potentielles, et une carte mise à jour de la géologie de la région d’Ignace, réalisée à partir de levés géophysiques aéroportés à haute résolution, d’informations déjà disponibles sur la région et de nos récents travaux de cartographie.
« Ces produits fourniront la représentation la plus exacte du substratum rocheux que nous ayons et seront intégrés aux données tirées des forages géotechniques pour réaliser des modèles géologiques en trois dimensions de la région à l’étude », souligne M. Parmenter.
Ignace est l’une des deux régions qui participent actuellement au processus de sélection d'un site pour le dépôt géologique en profondeur où sera stocké le combustible nucléaire irradié canadien.
Les travaux techniques qui se poursuivent incluent l’analyse des données tirées des échantillons de roche et d’eau recueillis dans le cadre des travaux de forage et d’essai de trous de sonde réalisés dans la région d’Ignace-Wabigoon pour mieux comprendre la géologie locale.
« En tant que géologue, je souhaite toujours avoir des gens sur le terrain qui recueillent des informations et des données pour notre projet », indique Andy Parmenter, chef de la section de l’intégration et de la synthèse des données à la SGDN. « La réalité pendant la situation actuelle de la COVID-19, c’est que nous avons dû changer nos habitudes de travail, en nous concentrant sur ce qui peut être fait à distance. Les données que nous recevons continuent d’indiquer que la roche est relativement homogène et stable et qu’il n’y a aucune preuve que de l’eau y ait été présente à grande profondeur récemment. »
La SGDN continue de travailler avec les collectivités et ses sous-traitants à la planification d’un retour sur le terrain sûr et du forage des cinquième et sixième trous de sonde dans la région. Nous suivrons les recommandations des autorités de santé publique pour nous assurer que nous reviendrons sur le terrain à un moment et suivant une approche qui seront sûrs pour tous. La SGDN avait antérieurement foré les trous de sonde un à trois et effectué les essais de fond de puits connexes. Au mois de mars 2020, elle a ensuite foré jusqu’à une profondeur de 1 000 mètres le quatrième trou de sonde, d’où elle a extrait des carottes rocheuses.
En s’appuyant sur les informations et les données recueillies par la SGDN, notre équipe géoscientifique est en train de maintenant de mettre la dernière main à deux rapports qui seront bientôt publiés : une interprétation révisée des linéaments, réalisée d’après des données à haute résolution qui montrent où se trouvent en surface les zones de fractures potentielles, et une carte mise à jour de la géologie de la région d’Ignace, réalisée à partir de levés géophysiques aéroportés à haute résolution, d’informations déjà disponibles sur la région et de nos récents travaux de cartographie.
« Ces produits fourniront la représentation la plus exacte du substratum rocheux que nous ayons et seront intégrés aux données tirées des forages géotechniques pour réaliser des modèles géologiques en trois dimensions de la région à l’étude », souligne M. Parmenter.
Ignace est l’une des deux régions qui participent actuellement au processus de sélection d'un site pour le dépôt géologique en profondeur où sera stocké le combustible nucléaire irradié canadien.